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Étudiante en génie de la construction à l’École de technologie supérieure et impliquée dans mon milieu scolaire. J'ai fait partie de mon association étudiante, j'ai été représentante du génie de la construction et j'ai par la suite participé à un projet de coopération internationale dans le club étudiant PRÉCI. Je reviens tout juste de Guinée où la mission a été de construire un collège dans le village de Pilimini lors de la session d'automne. J'ai eu l'occasion de réaliser 3 stages, le premier à la mine Canadian Malartic, le second pour un entrepreneur général en construction de maisons de prestige et le dernier en structure chez ELEMA, ainsi qu'en tant que membre de l'équipe de stratégie durable chez Lemay.
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Étudiant en chimie à McGill en troisième année. Intéréssé par la chimie des matériaux, la physique quantique et la modélisation par ordinateur. Expérience de recherche sur le dévelopement de cathodes pour les piles à lithium-ion (2021) et sur la modélisation de systèmes avec des réseaux neuronaux (2022).
Dans mes temps libres j’expérimente avec l’impression 3D, des projets de programmation et de l’électronique. J’aime aussi faire des marches, du vélo et de la natation.
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En 2018, 12,6% des résidents d'Ottawa vivaient sous le seuil de pauvreté, malgré les aides financières auxquelles ils avaient droit. De plus, 23,8% des résidents consacraient plus de 30% de leur revenu à leur loyer, ce qui les rendait financièrement vulnérables [1]. Aujourd’hui le problème continue. Pour payer leur loyer, de nombreuses personnes doivent limiter leurs dépenses, ce qui peut conduire à la malnutrition. Parmi ces résidents se trouvent des membres de minorités visibles, des étudiants, des familles monoparentales, entre autres [1].
Étant donné que la population d'Ottawa devrait atteindre 1,4 million d'habitants d'ici 2030, il est dans l'intérêt du gouvernement de résoudre cette crise du logement et de réduire la pauvreté tout en limitant les émissions de carbone [2].
Notre solution pour aider les personnes à faible revenu est de créer une OSBL qui coordonera le financement et le développement de logements abordables, financés en partie par des aides gouvernementales, en réhabilitant des bâtiments existants tels que des bureaux pour limiter les déchets et les émissions de construction. Les critères Passivhaus seront pris en compte pour limiter les émissions de gaz à effet de serre et les coûts d'utilisation, en ayant une enveloppe thermique efficace et en utilisant des panneaux solaires lorsque cela est applicable.
De plus, un programme de soutien sera introduit sous forme de formation à l'entrepreneuriat et à la gestion des finances pour aider ces personnes à prospérer et créer une économie circulaire. En comblant leurs besoins de base, ils seront plus réceptifs à d'autres formes d'aide et pourront participer plus activement à la société.
Nous supposons que la gentrification n'affectera pas ce projet car le niveau des loyers sera maintenu artificiellement bas. Cependant, une modélisation financière serait nécessaire pour vérifier cela.
La possibilité d'utiliser la géothermie n'est pas garantie, c'est pourquoi une étude de terrain sera nécessaire. Il va de même pour l’utilisation de panneaux solaires.
Nous présumons qu'il y aura des emplois de niveau moyen que les résidents pourront occuper grâce au programme social. Sinon, ils devraient quand même être en mesure de s'établir dans une autre ville après avoir obtenu un emploi.
Le projet pourrait s’aligner vers un système de coopérative pour contrôler et limiter les coûts. Avoir eu plus de temps, nous aurions pu y réfléchir plus en détails à une solution pour l’implémenter.
Lors de l’implémentation, il faudra faire une estimation financière rigoureuse afin de cibler le capital à amasser pour ce projet. Ceci demandera une évaluation des bâtiments considérés.
Représentation du projet